Ce que j’aurais aimé savoir avant mes présentations orales

Des choses simples, certes, mais il faut y penser !

Si parler spontanément est plus ou moins naturel, construire sa pensée pour présenter ses idées, c’est une autre paire de manches.

Dans l’article du jour, je vous présente ces fameuses paires de manches que j’ai tricotées année après année au péril de mes angoisses d’étudiante puis de doctorante.

En d’autres termes, je vous livre les petites informations bien utiles avant une présentation orale.

C’est parti !

Avec du travail et de l’organisation, c’est plus facile

Dans ma vie, j’ai souvent été confrontée à l’expérience de l’expression orale. Pourtant, dans le cadre des présentations à préparer en amont et à confronter à un public, le stress avait une saveur particulière.

J’aurais voulu que l’on me donne confiance en moi. J’avais la fâcheuse tendance de tout faire dans mon coin en solitaire avec une peur bleue de faire lire mes présentations en amont.

J’aurais aimé que l’on me dise qu’avec du travail, et de l’organisation, rien n’est impossible.

Pas vrai George VI ?

Car, effectivement, rien n’est impossible. Je travaillais de longues heures, mais ça a fini par payer.

Au début, j’avais toutefois l’impression que je ne pouvais pas prendre la parole tant que je ne connaissais pas tout ce qu’il y avait à savoir sur le sujet… J’ai vite compris que c’était faux, et surtout impossible.

Ce que l’on attendait de moi n’avait rien à voir avec la science infuse. L’audience ou le jury attendait simplement une présentation claire et inspirante sur un sujet qui me tenait à coeur.

Certes, ça demande une bonne organisation et une intention positive, mais les présentations orales nous apprennent l’humilité, la méthodologie et l’envie de bien faire. Alors, croyez-moi, ça vaut bien quelques souffrances.

Tout le monde a déjà eu peur à l’oral

Quoi que l’on puisse entendre ou voir autour de nous : tout le monde stresse !

Menteur est celui qui affirmerait le contraire. En effet, lorsque prendre la parole en public pour exposer sa réflexion n’est pas habituel, il y a de quoi ressentir quelques craintes.

Les jambes tremblantes, la voix qui déraille, le cœur qui semble éclater. On connaît tous ça à des degrés divers.

Pourtant, l’université – ou le monde professionnel – est remplie de personnes qui semblent sans peur et sans reproche. Pas toujours facile de faire le poids à côté de la prestance de certains, n’est-ce pas ?

Et si l’on vous disait que cette prestance peut s’acquérir ? Avec du travail, de la technique et quelques petites astuces, je vous assure que c’est possible. Nous en reparlerons bientôt.

Pour l’heure, poursuivons la lecture de cet article. Nous en étions aux peurs que tout le monde ressent avant une prestation orale.

Afin de les gérer, j’aurais adoré que l’on me parle de méthodes efficaces pour gérer mon stress. J’ai dû trouver par moi-même.

En effet, je n’avais pas d’autres choix que de mettre en place des solutions car il ne s’agissait pas d’un stress gentillet. Je faisais de véritables crises de panique, je refusais que mes proches soient présents… en bref, c’était très compliqué.

Les exercices de gestion du stress que j’ai cités par ici devraient vous aider.

On n’a pas besoin de 3 mois pour construire une présentation orale

La gestion du temps était problématique à mes débuts. J’avais la sensation que, quoi que je fasse, je ne parviendrais jamais à être prête. J’avais beau m’y prendre en avance, j’étais terrorisée par la montre.

L’expérience m’a prouvé que j’avais finalement les ressources nécessaires et les méthodes automatiques pour avancer vite et bien.

Avec le temps, quelles que soient les occasions, j’ai donc réussi à construire de bonnes présentations pour :

  • Des séminaires nationaux ;
  • Des séminaires internationaux ;
  • Mes soutenances de mémoires ;
  • Ma soutenance de thèse ;
  • Les passages en commission doctorale ;
  • Les oraux professionnels ;
  • Les charges de cours universitaires.

Avec un cadre solide, des techniques de travail automatisées et de la rigueur, on peut construire son oral en une semaine, grand maximum.

Si l’on prend de l’avance, on peut même s’accorder des recherches supplémentaires pour faire de sa présentation un moment de grande profondeur scientifique (sans blague).

Il est vrai que la reconnaissance m’a aidée à prendre confiance en moi. Grâce à ces expériences et à une bonne dose de recul, je sais aujourd’hui que j’ai trouvé la bonne méthode pour préparer un oral sans m’y perdre, même si je devais terminer mon texte la veille pour le lendemain (ne faites pas ça !).

Dans les semaines à venir, vous en saurez plus sur cette fameuse méthode pour préparer son oral en un minimum de temps et pour un maximum d’efficacité.

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À bientôt pour un nouvel article et, d’ici là, que la motivation soit avec vous,

Nina.

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