Je ne veux pas travailler, je ne veux pas déjeuner…
Être fainéant, est-ce vraiment grave lorsqu’on a un but à atteindre ?
Bien sûr, ce n’est pas un trait de personnalité mis en avant dans notre monde. Mais, soyons honnêtes, qui ne passe pas par ces phases où l’on ne veut rien faire d’autre que compter les nuages ?
Avoir le paresseux comme animal totem, ça n’est pas forcément la fin du monde.
Oui mais voilà, quand on fait ses études on n’a pas le temps de niaiser. Alors comment les réussir quand on voudrait passer son temps à dormir ?
On en parle aujourd’hui, c’est parti !
Se fixer un cadre de travail optimal
🦥 Si l’on est du genre paresseux, mieux vaut éviter d’essayer de travailler sur le canapé !
Ce serait le meilleur moyen de ne pas avancer – ou du moins si, mais vous ne serez pas noté sur la quantité d’épisodes Netflix que vous aurez visionné…
On se motive donc ¼ de seconde et on organise son espace de travail en suivant quelques règles simples mais efficaces :
- Un espace calme et dédié au travail ;
- Votre bureau doit vous plaire ;
- Assurez-vous de pouvoir vous y installer confortablement ;
- On évite les distractions inutiles sur son espace de travail, on pense donc à désactiver les notifications pendant ses séances.
Aussi, un agenda papier sur lequel inscrire vos priorités pourra vraiment vous aider à avancer en gardant toujours à l’esprit que même les fainéants ont un temps limité…
Élargir ses deadlines
Comme le met merveilleusement en lumière Richard Gilmore, si vous souhaitez obtenir des délais plus longs, c’est très simple.
📂 Admettons que vous ayez un dossier à rendre pour le 15 décembre.
Prenez votre calendrier et rendez-vous au 1er décembre. Notez votre deadline à cette date et inscrivez au 15 décembre que vous devrez rendre le travail précédemment terminé. 📅
Et voilà !
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Analyser son rythme de travail et ses besoins
Le Journal de confinement que je vous ai mis en ligne en téléchargement gratuit sert justement à ça.
Il est destiné à vous aider à mettre en place de nouvelles habitudes bienveillantes pour atteindre vos objectifs personnels et universitaires. Voici un petit aperçu de son contenu :
Une bonne habitude à mettre en place pour connaître ses besoins et son rythme est d’essayer de noter vos heures de début et de fin de session de travail. Observez également votre degré de fatigue ou de motivation en fonction des heures de la journée. Adaptez ensuite vos séances de travail au bon moment de la journée et avec des durées qui vous conviendront.
Enfin, pour les périodes les plus intenses, pensez à la méthode Pomodoro !
Savoir dire non
On ne peut pas être partout à la fois, encore moins lorsque notre tension n’excède pas les 8.
Pour éviter de se retrouver dos au mur, mieux vaut apprendre à prioriser et à dire non aux nouvelles propositions si vous vous savez incapable de tenir vos délais actuels.
Ça ne veut pas dire que vous vous empêchez de vivre, bien au contraire.
En effet, il est très compliqué de gérer la pression et de venir à bout de ses obligations lorsqu’elles s’accumulent.
Mieux vaut remettre à plus tard certains événements ou rendez-vous. Idem pour les projets. Si vous êtes en mesure de les décaler à un moment où vous serez plus libre, faites-le.
Ne pas trop se trouver d’excuses
Même si on doit savoir prendre les choses avec plus de légèreté, il ne faut tout de même pas que cela devienne une habitude.
Il y a une limite à ne pas franchir si l’on ne souhaite pas basculer du côté obscur de la fainéantise.
En d’autres termes : tenez vos engagements. Forcez-vous à finir vos travaux en cours une bonne fois pour toutes. Cessez de procrastiner !
En mettant ces petites astuces en place, vous pourrez continuer à paresser plus souvent, avec moins de culpabilité !
C’est tout pour aujourd’hui. On se retrouve bientôt pour un prochain article et, d’ici là, que la motivation soit avec vous (courage),
Nina.
Un commentaire sur « Comment réussir ses études quand on est une feignasse »